TARTE AUX POMMES ET A LA CONFITURE D’EGLANTINE

Cela fait un très long moment que je ne vous ai pas proposé de nouvelle recette. Pluie, fatigue, moins d’envie. Et pourtant j’avais plusieurs fois acheté des ingrédients pour faire des recettes et il ne me manquait que les plantes sauvages mais…

Hier je me suis promenée dans le rayon d’un km autour de chez moi en cette période de reconfinement et j’ai ramassé quelques pommes pour un petit dessert que je voulais tester. Il faut bien se faire plaisir!

J’avais encore de la confiture d’églantine (les fruits sont vraiment à point, hier j’en ai pressé un ou deux trouvés en chemin et mangé la pulpe à même le fruit, c’est plein de vitamine C!), et je me demandais quoi vous proposer. J’ai trouvé cette recette qui mélange la douceur de l’églantine au goût acidulé de la pomme.

Les deux petits pommiers qui sont sur les bans de la commune à côté de chez moi portaient encore quelques pommes, c’est tout ce dont j’avais besoin!

Pour la recette de la confiture d’églantines c’est par ici

Ingrédients:

Pour la pâte à tarte :

  • 250 g. de farine
  • 125g. de beurre  mou (salé ou non)
  • 100 g de sucre glace
  • 1 œuf.

Pour la garniture: 

  • confiture d’églantine
  • 5 ou 6 pommes
  • cassonnade selon le goût
  • quelques noix de beurre

Préparation:

  • Mélangez la farine et le beurre à température coupé en petits morceaux jusqu’à obtenir un sablage, puis ajoutez l’œuf et le sucre glace. Mélangez jusqu’à obtenir une pâte lisse et homogène.
  • Faites une boule et laissez la reposer environ 2 h au réfrigérateur enveloppée d’un film alimentaire
  • Sortez votre pate 1/4h avant de l’étaler et faites préchauffer votre four à 180°
  • Farinez votre plan de travail et étalez la pâte. Puis disposez-la dans un moule à tarte ou dans des moules à tartelette.
  • Faites-la cuire à blanc 15 à 20 mn (selon que vous avez une grande tarte ou des petites) en la recouvrant de papier sulfurisé et de haricots.
  • Une fois le fond de tarte cuit , étalez au fond de la confiture d’églantine à votre convenance puis ajoutez les pommes découpées en quartiers ou en demi.
  • Saupoudrez de cassonnade pour caraméliser un peu (pas trop pour que ce ne soit pas trop sucré) et disposez quelques noix de beurre sur les pommes
  • Remettez au four environ 20 mn. Surveillez la cuisson pour que ça ne brunisse pas trop

Dégustez tiède ou froid et les gourmands pourront ajouter de la glace vanille ou de la chantilly.

 

COOKIES D’AUTOMNE (baies d’aubépine, noix, châtaignes)

Le temps a basculé d’un coup, en même temps que le calendrier, de l’été à l’automne et en Alsace nous avons perdu 20 degrés en trois jours. Glagla!

Du coup j’ai rallumé mon four avec le plus grand plaisir (et avec le poêle à bois qui chauffe pas loin il fait une chaleur de fou!)

Je vous avais promis encore une recette aux baies d’aubépine puisque j’en avais cueilli assez la dernière fois et qu’elles m’attendaient au congélateur (vous vous rappelez? Il faut attendre les premières gelées pour les cueillir ou ruser en les mettant au congélateur 48h minimum), la voici! Ca sera la dernière de la saison… ou pas. Je verrai. Ca fait les muscles de les passer au moulin à légumes, ce n’est pas la partie la plus sympa des recettes.

J’y ai ajouté des noix qui commencent à mûrir (j’ai pris celles de l’an dernier mais j’en ai aussi déjà ramassé quelques unes), et des châtaignes que je ne suis pas encore allée ramasser mais que j’ai vues sur les étals, ça doit donc bientôt être bon.

Que fait-on quand il pleut? On mange des petits gâteaux et on boit du thé. Non? On chille, quoi. Quelle gourmande! Franchement, on se demande pourquoi mes hanches s’arrondissent. D’ailleurs c’est l’heure du thé et je vais goûter ma première fournée qui refroidit miam! 🙂

Promis la semaine prochaine je vous propose du salé!

Ingrédients:

  • 250 g de baies d’aubépine ou cenelles
  • 250 g de châtaignes
  • 30 g de cerneaux de noix concassés
  • 100 g de sucre
  • 2 oeufs
  • 1 càc de levure chimique
  • 70 g de beurre fondu
  • 50 g de fécule de mais
  • 1 pincée de sel
  • miel (facultatif)

Préparation:

  • Laver les cenelles
  • Faites les cuire dans l’eau pendant 15 mn
  • Passez les en purée dans le presse purée
  • Incisez les châtaignes et faites les cuire dans l’eau 15 mn.
  • Réduisez en purée
  • Préchauffez votre four à 210° (th 7)
  • Faites fondre le beurre
  • Mélangez les deux purées puis tous les autres ingrédients sauf le miel
  • Vous devez obtenir une pâte épaisse. Si elle est trop liquide ajoutez de la fécule
  • Mettez des petits tas espacés sur du papier sulfurisé sur une plaque (je l’ai fais avec une cuillère à café, vous pouvez essayer avec une poche à douille ou la main si la pate est assez sèche).
  • Déposez si vous le souhaitez quelques gouttes de miel dessus (personnellement le miel a coulé et a grillé sur la plaque lors de la première fournée, je n’ai pas réessayé)
  • Faites cuire environ 15 mn (surveillez)

Dégustez!

 

 

TARTE AU FROMAGE BLANC A LA GELEE DE CENELLES

Voici encore une recette avec des baies d’aubépine qui se récoltent à foison en ce moment (j’en ai encore et je vous proposerai encore une autre recette bientôt).

Nous sommes allés nous promener dans un joli sentier il y a quelques jours et j’avais apporté mon sac à ramasser en toile. Nous avons récolté de quoi faire quelques recettes  et j’ai tout mis au congélateur quelques jours pour rendre les fruits blets comme il se doit. A côté des arbustes d’aubépine, et parfois entremêlés , nous avons vu des arbustes avec des baies rouges de viorne, et il est facile de mélanger si on ne fait pas attention.

Les baies de viorne (à gauche) sont beaucoup plus translucides, rouge vif et plus claires que les baies d’aubépine (à droite), brillantes aussi mais pas du tout translucides. Les feuilles d’aubépine sont beaucoup plus découpées. Eles l’aubépine a de grands piquants sur les tiges.

 

 

 

 

 

Certains articles  disent la viorne comestible cuite (mais très amère), certains autres la disent toxique. Dans le doute, moi je m’abstiens. Il faut  que je vérifie lesquels ont raison.

J’ai vu la recette que je vous propose sur un de mes sites fétiches « Mon chalet en morvan ». Et comme j’adore la tarte au fromage je n’ai pas hésité!

Gelée de cenelles ou baies d’aubépines:

Ingrédients:

  • 1,5 kg de baies d’aubépine
  • Sucre cristallisé
  • 1 petit citron

Préparation:

  • Extraire le jus du citron au moyen d’un presse agrume.
  • Rincez les baies d’aubépine et bien les sécher.
  • Equeutez les baies d’aubépines.
  • Verser les baies d’aubépines dans une casserole et les couvrir d’eau.
  • Porter à ébullition à feu vif et laisser cuire quelques minutes le temps qu’elles éclatent.
  • Retirer du feu et verser le tout dans le presse purée
  • Presser les baies pour en extraire le jus.
  • Laisser s’écouler tout le jus puis filtrer ce même jus à travers une étamine.
  • Peser le poids du jus obtenu et préparer le même poids de sucre cristallisé.
  • Verser le sucre, le jus de citron et le jus  d’aubépine dans une bassine à confiture.
  • Porter à ébullition à feu vif pendant 10 minutes en écumant et remuant régulièrement jusqu’à ce que le mélange épaississe.
  • La gelée d’aubépine est cuite quand la température atteint 105°C au thermomètre à sucre.
  • Retirer du feu et verser dans les pots à confiture.
  • Refermer au moyen de cellophane ou de couvercles à vis.
  • Laisser refroidir et entreposer dans un endroit frais à l’abri de la lumière.

 

Tarte au fromage blanc:

Ingrédients:

  • 750 g de faisselle égouttée
  • 4 oeufs
  • 150 g de sucre
  • 40 cl de lait entier
  • 60 g de fécule
  • 40 g de farine
  • le zeste d’un citron non traité
  • 1 pincée de sel

Préparation:

  • Séparez les blancs des jaunes
  • Mélangez la faisselle bien égouttée avec les jaunes d’œuf, 50 g de sucre et le lait pour obtenir une crème lisse.
  • Ajoutez alors la farine, la fécule , le zeste de citron et une pincée de sel. Mélangez.
  • Battez les blancs en neige très ferme et ajoutez petit à petit le sucre restant
  • Incorporez délicatement les blancs à la préparation au fromage blanc.
  • Déposez ce mélange sur la pâte (vous pouvez la précuire à blanc pendant 10 mn  avec des haricots ou des lentilles avant, mais personnellement je ne le fais jamais)
  • Faites cuire 1 heure à 180°. Surveillez et couvrez si ça brunit trop.
  • Sortez du four , laissez tiédir et retournez sur une grille à tarte pour que l’appareil ne retombe pas trop.
  • Laissez refroidir.
  • Servez avec la gelée de cenelles

 

FAISSELLE A LA COMPOTE POMMES/AUBEPINE (CENELLES)

Connaissez-vous l’aubépine? Saviez-vous qu’elle se mangeait?

Eh bien moi je découvre. Pourtant le nom ne m’est pas inconnu et je l’associe avec quelque chose de délicat, de romantique et d’ancien allez savoir pourquoi.

Pire, en passant depuis des années devant les arbustes pleins de petites baies rouges vif j’étais persuadée que c’était toxique. Pourtant depuis trois ans que je tiens ce blog j’aurais dû me renseigner mais non. Bref, c’est une vidéo de l’excellent site  « le Chemin de la nature » il y a quelques jours qui m’a fait m’écrier « bon sang mais c’est bien sûr! Je la connais cette baie et je sais où en trouver! »

En réalité on en trouve un peu partout dans les haies, sur le bord des chemins. Au printemps les arbustes se couvrent de jolies et délicates fleurs, en automne ce sont les fruits rouges ou cenelles. Comme pour les cynorrhodons, il vaut mieux les récolter après les premiers gels, mais on a le droit de tricher en les mettant 48 h au congélateur. Les cenelles comportent 1 ou 2 noyaux selon la sorte d’aubépine. Les arbustes sont pleins de très grandes épines, et les feuilles très découpées.

Chez moi les arbustes en sont couverts, c’est encore une année à fruits! Et tout est en avance; elles sont donc déjà mûres.

Voici un lien pour la reconnaître sans se tromper: http://www.ecobalade.fr/espece/aubepine

Cueillez les fruits bien rouges et mûrs. Si vous n’avez pas envie d’attendre les premières gelées (qui d’ailleurs se font de plus en plus rares), mettez les fruits 48 h dans le congélateur.

Voici un petit dessert que j’ai trouvé sur le site »Plantes sauvages comestibles ».

Avant toute chose munissez vous ou faites l’achat d’un presse purée manuel. Croyez moi, c’est un investissement qui vaudra le coup (j’ai testé sans, et ce n’est pas du gâteau).

Ingrédients:

  • 200 g de cenelles
  • 1 pomme
  • 200 g de faisselle
  • 2ou 3 càs de jus de citron
  • 2 ou 3 càs de miel

Préparation:

  • Equeutez et triez vos baies ou cenelles
  • Lavez les simplement
  • Mettez les dans  une casserole et couvrez juste d’eau.  Faites cuire 10 mn après ébullition.
  • Pendant ce temps coupez la pomme en morceaux et faites la cuire en la recouvrant d’eau jusqu’à ce qu’elle se défasse en purée.
  • Egouttez les cenelles et passez les au presse purée jusqu’à ce qu’il ne reste plus que les noyaux. C’est assez fastidieux. J’ai remouillé avec de l’eau pour liquifier la purée qui était très épaisse.
  • Mélangez la purée ainsi obtenue avec la pomme et assaisonnez avec le citron et le miel. La purée de cenelles est farineuse et sans vrai goût, elle se mariera très bien avec la pomme (ou la poire d’ailleurs), le citron et le miel.
  • Réservez au frais
  • Déposez un peu de faisselle égouttée dans une verrine , ajoutez la purée par dessus.
  • Dégustez!

QUE FAIRE AVEC: DES GRAINES D’ORTIE

La nature regorge de plantes et de fruits en cette fin d’été, mais ce n’est pas toujours facile pour moi de me renouveler et de vous proposer des recettes.

J’habite un village et, en Alsace, région hyper urbanisée et hyper cultivée où les villages défilent les uns après les autres, il n’est pas toujours aisé de trouver des coins de nature proches de chez moi où trouver des plantes sauvages saines. Et puis, le manque de motivation, de temps, la météo capricieuse … bref la cuisine sauvage requiert la recherche de plantes et ce n’est pas toujours aisé.

Abonnée à des pages de nature, je vois bien aussi que certaines plantes ne poussent pas ici, (ou que je ne les ai pas encore repérées!)

Tout ça pour dire qu’aujourd’hui j’ai opté pour la facilité: les orties de mon jardin.

Vous trouverez des indications sur l’ortie sur le site Lagherta que je viens de découvrir https://lagertha.fr/nature-bushcraft/plante-sauvage/ortie-comestible/

Les amoureux des plantes sauvages savent que l’ortie est pleine de nutriments et de vitamines et qu’elle est notre amie, même si la belle , envahissante et urticante, ne se donne pas au premier venu. Mais en cette saison les feuilles sont épaisses et amères. La soupe et la cuisson sont bien entendu toujours possibles mais autant bénéficier des bienfaits de la plante autrement, avec ses graines par exemple. Celles-ci n’ont pas beaucoup de goût, on les apprécie pour leur croquant plutôt.

  • NB: Les graines d’orties ayant un effet antidiurétique (contrairement aux feuilles), on veillera à en avoir un usage limité.

Je vous avais déjà donnée une recette avec les graines il y a 2 ans (butternut au four), ici

En voici deux autres (bande de petits veinards):

Boulettes apéritives de chèvre aux graines d’orties (la recette vient du site « cuisinesauvage.org »:

Ingrédients pour 4 personnes:

  • 80g de chèvre frais
  • 1 poignée de graines d’ortie
  • sel, poivre, herbes de provence

Préparation:

  • Récolter les graines d’ortie dans un bocal, par grappes entières. En cuisine: passer la récolte au tamis pour ne conserver que les graines.
  • Laver, éponger puis hacher très finement les jeunes feuilles d’ortie.
  • Réaliser les boulettes : Sortir du frigo le fromage de chèvre au dernier moment pour le conserver bien frais et facile à façonner. Y incorporer les herbes de provence ou d’autres à votre convenance . Assaisonner si nécessaire, de sel, poivre et piment d’Espelette ou toute autre épice selon le goût
  • Façonner des mini-boulettes et les rouler dans les graines d’ortie
  • Réserver au frais avant de servir

Biscuits sablés au citron et graines d’ortie 

Ingrédients pour une vingtaine de biscuits selon leur taille :

  • 85 g de beurre mou
  • 30 g de sucre glace
  • 20 ml de jus de citron
  • 4 cuillères à soupe de graines d’ortie
  • 125 g de farine
  • 10 g de maïzena
  • 1 pincée de sel

Préparation:

  •  Dans un saladier, fouetter à l’aide d’un batteur électrique le beurre avec le sucre glace jusqu’à ce que le mélange devienne homogène et crémeux.
  • Ajouter le jus de citron et battre à nouveau.
  • Dans un autre saladier, mélanger la farine, la maïzena et le sel puis ajouter le tout à la préparation précédente.
  • Ajouter les graines d’ortie.
  • Mélanger du bout des doigts jusqu’à former une boule.
  • Former un boudin d’environ 20 cm de longueur.
  • Le placer au frais pour au moins 1 h.
  • Préchauffer le four à 180°C.
  • Sortir le boudin du frais et à l’aide d’un couteau, découper des tranches d’environ 5 à 8 mm d’épaisseur.
  • Les déposer sur une plaque à pâtisserie (j’utilise une plaque en silicone).
  • Enfourner pour 13 à 15 minutes.

 

CROQUANTS NOISETTES AMANDES ET BAIES D’ARGOUSIER

C’est (déjà) la saison des noisettes, peut-être avec un peu d’avance. J’adore cueillir ou ramasser ces fruits et prendre le temps de les craquer avec un casse noisettes ou, comme quand nous étions petits, une grosse pierre. J’avais parié que les grosses pluies de ces derniers jours feraient tomber les fruits mûrs, et j’avais raison. J’avais découvert pendant mes marches de rééducation il y a deux ans un noisetier à 200 m de chez moi, dont personne ne ramassait les fruits. Je m’étais déjà  demandée alors pourquoi les gens d’aujourd’hui préfèrent acheter en magasin que de prendre ce qui est à portée de cueillette. C’est valable pour les pommes, poires et autres fruits plus ou moins cultivés qui tombent des arbres.

J’habite un village et la nature n’est jamais très loin.  Les écureuils qui transportent et oublient leurs noisettes non plus. Les noisetiers poussent donc tout seuls un peu partout, y compris dans mon jardin. J’en ai laissé pousser un pour qu’il me serve de brise vue et, comme il se trouve à côté d’un noisetier d’ornement rouge planté, celui-ci a donné des fruits. J’ai découvert qu’il faut qu’ils soient par deux pour fructifier, une histoire de timing entre fruits mâles et femelles…

Ma récolte une fois ramenée, j’ai cherché quoi vous proposer. Je suis tombée sur une photo de croquants, petits gâteaux à thé, qui m’ont fait bien envie. J’avais goûté ce genre de gâteaux pour la première fois l’an passé à Malte, où ils étaient servis avec le café. J’avais adoré leur côté léger, pas trop sucré, et leur petite taille juste suffisante pour une bouchée.

Il me restait aussi des baies d’argousier séchées de l’an dernier de ma balade en Baie de Somme (on en trouve pas en Alsace) , et des amandes (du supermarché cette fois-ci), allez hop, je mélange tout! J’avoue que j’ai mis des amandes après une heure de cassage de noisettes où j’en avais un peu assez, et il me fallait encore du volume…

Il y a de nombreuses recettes pour ces croquants, j’en ai pris une au hasard.

Ingrédients:

  • 4 oeufs (3 entiers et un jaune)
  • 200 g de fruits secs mélangés entiers
  • 200 g de sucre
  • 400 g de farine
  • 2 càs d’eau de fleur d’oranger

Préparation:

  • Mélanger le sucre et trois oeufs.
  • Ajouter les fruits, l’eau de fleurs d’oranger puis la farine.
  • Finissez de pétrir à la main. La pâte ne doit pas être collante, si besoin ajoutez de la farine jusqu’à ce qu’elle se décolle des doigts.
  • Coupez la pâte en deux et roulez-la en gros boudins d’environ 3 cm de diamètre,
  • Posez les sur la plaque du four (sur du papier cuisson) et aplatissez-les grossièrement avec la paume de la main. Badigeonnez avec le jaune d’oeuf.
  • Faites cuire à 200 ° environ 40 mn (surveillez la cuisson: si les gâteaux deviennent trop bruns couvrez les avec du papier cuisson)
  • Sortez et laissez tiédir.
  • Coupez les boudins en tranches d’environ 0.5 à 1 cm (pas trop petits sinon il seront trop cuits, pas trop gros sinon ils seront trop difficiles à manger). C’est déjà bien cuit et un peu dur, il faudra donc un couteau à pain.
  • Disposez-les sur la plaque et laissez à nouveau sécher à 200°, 5 à 10 mn
  • Laissez refroidir et conserver-les dans une boite à gâteaux.